Description
En un mot comme en cent: le texte de Charlene Spretnak vient à son heure pour montrer que l’écologie n’est pas une philosophie sectorielle comme d’aucuns se complaisent à le dire, mais bien un appel de racines, un rappel quasi physique à notre propre nature, à nous ressouvenir de ce que nous sommes, quel est le but dans la vie, que nous nous inscrivons dans une lignée, et qu’il est illusoire de penser à l’avenir si l’on ne pense pas, d’abord, à ses origines et au cours de temps qui s’accélère dangereusement.
Les idéologies, les philosophies, les programmes politiques, tout cela peut se tromper. Avec l’écologie, pas moyen de se tricher. C’est elle la dernière frontière. Alors nous voulons nous vraiment assister à la destruction, de nos mains, de ce qui est juste, vrai et beau et qui nous fait vivre?
René Longet