Description
Si loin qu’il puisse remonter en son enfance, l’homme sait encore retrouver ce plaisir (ou ce deplaisir) des aliments dont l’évocation habite son volatil esprit. C’est que la mémoire n’est pas faite que de la forme abstraite des images, des paroles et des sons, mais aussi du toucher, des odeurs, de la primitive saveur des nourritures.